Manchester City et Arsenal : Une rivalité en ébullition après un duel intense
La rivalité entre Manchester City et Arsenal, deux des plus grands clubs d’Angleterre, a atteint un nouveau sommet après leur affrontement houleux au stade Etihad. Le match, qui s’est soldé par un nul 2-2, a laissé des traces profondes sur le terrain, mais aussi dans les esprits des joueurs et des entraîneurs. Pep Guardiola, le manager des Sky Blues, n’a pas hésité à déclarer une véritable “guerre” à Arsenal, attisant ainsi les tensions entre les deux clubs.
Le match entre Manchester City et Arsenal a été une véritable bataille sur le terrain. Dès les premières minutes, la tension était palpable, et les gestes d’humeur se sont rapidement multipliés.
Pep Guardiola, un manager en colère
Pep Guardiola, habituellement mesuré dans ses déclarations, n’a pas caché son irritation après ce match tendu. Interrogé sur l’attitude des joueurs d’Arsenal et sur les propos de son ancien adjoint Mikel Arteta, Guardiola a été direct. Arteta, qui a passé quatre ans aux côtés de Guardiola à City, avait laissé entendre que son ancienne équipe avait recours à des tactiques douteuses, ce que Guardiola a trouvé énigmatique.
“Il a dit qu’il savait ce qui se passe ici parce qu’il était là pendant quatre ans. Mais qu’est-ce que cela veut dire exactement ?” a rétorqué Guardiola. “La prochaine fois, il devra être plus précis. Peut-être fait-il référence aux accusations dont le club fait l’objet, mais je préfère des réponses claires plutôt que des sous-entendus.”
Ces propos font référence aux 115 accusations de la Premier League contre Manchester City pour de possibles infractions financières, un dossier qui continue de planer sur le club.
Mikel Arteta et la “guerre psychologique”
De son côté, Mikel Arteta n’a pas hésité à entrer dans la “guerre psychologique” instaurée par Guardiola et ses joueurs. Interrogé sur les commentaires de Guardiola, l’entraîneur espagnol a été succinct mais tranchant : “Je sais ce qui se passe à City, j’y ai travaillé pendant des années. Croyez-moi, je connais les rouages.“