Patrice Évra conteste sa condamnation et publie une vidéo provocatrice
Le 9 juillet dernier, le tribunal correctionnel de Nanterre a condamné l’ancien international français Patrice Évra à 12 mois d’emprisonnement avec sursis probatoire pendant deux ans pour des arriérés de pension alimentaire. Cette décision de justice n’a cependant pas semblé troubler le célèbre ex-défenseur de Manchester United. Au contraire, Patrice Évra a choisi de réagir d’une manière pour le moins inattendue.
Réaction surprenante sur les réseaux sociaux
Quelques jours après le verdict, Évra a publié une vidéo sur ses réseaux sociaux où il apparaît vêtu d’une tenue de prisonnier. Dans cette vidéo, il semble se moquer de sa condamnation en déclarant : « Permettez-moi d’éteindre cette info de merde : regardez comme je me suis amusé en prison. La France perd à l’Euro puis s’attaque à monsieur. » Ces propos ont rapidement fait le tour des médias et des réseaux sociaux, suscitant de nombreuses réactions.
Contestation de la décision de justice
Outre cette vidéo, Patrice Évra a également exprimé, par l’intermédiaire de son avocat Me Jérôme Boursican, son intention de contester la décision de justice. L’ex-épouse d’Évra devrait recevoir 4.000 euros pour le préjudice moral et 2.000 euros pour les frais de procédure, une décision que l’ancien joueur juge injuste et excessive.
L’affaire qui a conduit à cette condamnation remonte à plusieurs années de conflits juridiques autour de la pension alimentaire que Patrice Évra devait verser à son ex-femme. Cette situation a été aggravée par des accusations de non-paiement de ces pensions, ce qui a finalement conduit à sa condamnation par le tribunal correctionnel de Nanterre.
Malgré cette condamnation, Patrice Évra continue de jouir d’une grande popularité auprès de ses fans. Cependant, il est probable que cette affaire judiciaire aura des répercussions sur son image publique et sa carrière post-football. Il est également à noter que les actions futures d’Évra, notamment sa manière de gérer cette situation sur les réseaux sociaux, seront scrutées de près par les médias et le public.