Lopez refuse de payer : Riera s’exprime sur la situation

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Lopez refuse de payer : Riera s’exprime sur la situation
Albert Riera (Entraineur des Girondins de Bordeaux)

Bordeaux face à une possible descente en National 2

Les Girondins de Bordeaux, club historique du football français, se trouvent dans une situation alarmante. Rétrogradés à titre conservatoire en National 1, les Bordelais craignent une descente encore plus profonde. Le président et propriétaire du club, Gérard Lopez, a clairement indiqué qu’il n’avait pas l’intention de verser les 42 millions d’euros nécessaires pour maintenir le club en Ligue 2.

Le président Gérard Lopez et son refus de payer

Gérard Lopez, une figure controversée dans le monde du football, a refusé de payer la somme exigée par la Direction Nationale du Contrôle de Gestion (DNCG). Cette décision pourrait avoir des conséquences désastreuses pour le club, qui risque une descente administrative en National 2. Lopez semble cette fois-ci inflexible face à la demande de la DNCG.

La réaction de l’entraîneur Albert Riera

Albert Riera, l’entraîneur des Girondins, a exprimé sa profonde tristesse et son impuissance face à cette situation. Sur le réseau social X, il a partagé ses sentiments :


« Conscient de la situation, je souffre, regrette et surtout je me sens les mains liées pour pouvoir aider ce club historique car il ne dépend pas de moi. »


Riera, malgré les incertitudes, a affirmé son engagement indéfectible envers le club, promettant de continuer à apporter ses connaissances et son dévouement jusqu’au dernier jour.

Le parcours administratif : une lueur d’espoir ?

Le club aquitain a fait appel de la décision de la DNCG et repassera devant cette instance mardi prochain. Cette audience représente une ultime chance pour Bordeaux de sauver sa place en Ligue 2. Cependant, les précédents montrent que la DNCG n’est pas facilement convaincue, surtout face à des dettes aussi importantes.

Une descente en National 2 ne serait pas seulement une catastrophe sportive mais aussi économique. Les sponsors, les droits télévisés et les revenus des jours de match seraient considérablement réduits, plongeant le club dans une crise financière encore plus profonde.