“Je me suis fait avoir” : Le cri d’alarme de Pierre Sage sur DAZN

par

Pierre Sage va passer son diplôme
Pierre Sage © Imago

Ligue 1 en danger ? Pierre Sage critique le nouvel accord de diffusion avec DAZN

À l’aube de la quatrième journée de Ligue 1, l’entraîneur de l’Olympique lyonnais, Pierre Sage, a exprimé ses préoccupations concernant la visibilité du championnat français. Alors que l’OL se prépare à affronter Lens, l’ombre du nouveau diffuseur, DAZN, plane sur l’avenir de la Ligue 1. Sage, en tant qu’abonné mécontent, dresse un tableau sombre de la situation.

Les inquiétudes de Pierre Sage : Une visibilité en déclin?

Pierre Sage, présent en conférence de presse, n’a pas caché son inquiétude quant à l’impact de DAZN sur la visibilité de la Ligue 1. Le nouvel accord de diffusion, bien que prometteur, semble peiner à attirer les abonnés. Le coût élevé des abonnements est souvent pointé du doigt comme l’un des principaux obstacles à une adoption plus large.

DAZN : Un nouveau diffuseur aux tarifs contestés

Depuis sa prise en charge des droits de diffusion, DAZN a fixé un prix d’abonnement mensuel à 29.99 euros, avec une option sans engagement à 39.99 euros. Ces tarifs élevés, conjugués à une offre jugée insuffisante pour justifier le coût, ont suscité une vague de mécontentement parmi les fans. Pour répondre à la grogne, DAZN a lancé une promotion temporaire, réduisant le tarif annuel à 19.99 euros par mois et offrant les deux premiers mois gratuits pour les nouveaux abonnés.

Pierre Sage et l’inadéquation des offres promotionnelles

Malgré la baisse de prix pour les nouveaux abonnés, Pierre Sage se trouve dans une situation délicate. En tant qu’abonné antérieur, il se voit exclu de ces réductions. “Je me sens un peu… J’ai l’impression de m’être fait avoir“, avoue-t-il avec une touche d’ironie. Cette situation reflète un mécontentement plus large et souligne le besoin d’une approche plus équitable de la part des diffuseurs.

Le technicien français croit fermement que le football doit conserver son attrait spectaculaire, tant pour les spectateurs en stade que pour ceux qui regardent à la télévision. “Je ne pense pas (qu’à terme, on pourrait voir moins de Ligue 1). Je pense qu’il y aura une solution“, affirme Sage avec conviction.