C’est la discipline de notre siècle. Que nous soyons un millenial ou un enfant de l’an 2000, le jeu vidéo avec l’eSport coule dans nos veines. Comme la science-fiction au cinéma a démontré ses plus belles réalisations, la fable fut une ruée vers l’or dans le style littéraire, pour la morale et la conscience, l’eSport est aux paris sportifs une ère nouvelle qui ouvre ses portes. Mais quand ? Quand ?! En 2020, nous avons espoir de parier sur l’eSport et d’avoir nos premières mises d’argent. Et s’il était trop tôt ? Et si l’Arjel était encore en retard sur tout ? La Française Des Jeux, elle, n’a pas attendu pour vos premiers paris sportifs sur l’eSport. C’est le gros LoL de cette fin d’année 2019.
L’ère eSport avec King of Kong
Dans les années 80, le monde du ballon rond ne tournait que sur la planète des petits magiciens. Maradona, Beckenbauer, Platini ou même Cruyff sont les auteurs d’un jeu nouveau, de tactiques nouvelles, et des premiers paris sportifs sur le football. Mais dans le même temps, tout le monde n’était pas focus sur cette distraction. Certains préférés lire dans leur coin, d’autres découvraient les premières émissions intervilles à la télévision.
Des distractions un peu limitées, où l’enthousiasme n’était certainement pas du goût de tous. Alors pour un petit gamin ou une petite gamine des années 80, le meilleur était encore de retrouver ses copains à la salle de jeu du coin. Des machines énormes, où l’on insert des coins, et Tetris comme King Kong étaient vénérés sur ce nouveau monde. Le jeu vidéo propose, sans le savoir, l’eSport et les paris sportifs à venir. Ce monde apporte son lot de surprises, d’incertitudes, et des premiers records en rejaillissent. Qui dit records dit alors compétitions. Le Kylian Mbappé du King Kong face au Platini qui refuse de céder son record, il n’en restera qu’un dans l’Histoire. Dans les faits, ils s’appellent respectivement Steve Wiebe et Billy Mitchell.
Au détour du documentaire sur l’eSport King Of Kong sorti en 2007, il est bon de retrouver ces mêmes gamins des années 80 devant leur machine d’arcade. Ils tentent de pulvériser un record vieux comme le monde du jeu vidéo. Et il y a cette scène improbable où Steve Wiebe, sur les pas de Billy Mitchell, est sur le point de battre le record de points à King Kong. Mais au moment de la transformer, il se fait rappeler à l’ordre par son fils : « Papa, j’ai fini ! ». Vous comprendrez mieux l’idée et débuts eSports en regardant ce petit chef d’oeuvre de Seth Gordon. À travers cette histoire, l’eSport naît, les paris sportifs émergent !
Des compétitions internationales ouvertes aux paris sportifs eSport
Bien loin aujourd’hui des duels à distance sur un jeu vidéo emblématique comme King Kong sur une machine d’arcade poussiéreuse, l’eSport présente des compétitions internationales vues par des millions de spectateurs et streameurs. La genèse de cette discipline eSport est aussi improbable que son évolution à nos jours. Le serpent a encore une fois pris possession de la bonne poire. Tout cela pour mieux nous envoûter. Les paris sportifs sur l’eSport n’est alors pas une idée dénuée de sens.
Las Vegas, Londres, Paris, Berlin, Séoul, Pékin, Tokyo et tant d’autres capitales du globe accueillent aujourd’hui, dans des salles de plusieurs milliers d’hectares, des centaines de machines, des milliers de compétiteurs. Tous synchronisés sur la même idée : l’eSport est leur passion. Un peu comme le football que nous relatons chaque jour, ces passionnés, fans, journalistes, sponsors, managers, entraîneurs, capitaines, programmeurs, finisseurs, tueurs, vendeurs, offrent une nouvelle conception du sport et de la compétition. Une souris ou une manette dans les mains, ils sont capables de réaliser des gestes techniques en eSport là où Messi et Ronaldo n’auraient aucune décoration.
À ce jour, grand jour où le jeu vidéo prend place nette sous le sapin, il est des grandes affiches eSport qui donnent lieux aux plus grandes compétitions :
- League Of Legends
- Dota 2
- StarCraft 2
- Counter Strike : Global Offensive
- Over Watch
- Fortnite
- Call Of Duty
- Fifa
- Pro Evolution Soccer
Sur l’ensemble de ces licences internationales du jeu vidéo, les premiers paris sportifs sur l’eSport demandent naturellement des grands champions et des grandes équipes. Alors nous ne parlerons pas dans le détail des équipes financées et construites par le Paris Saint-Germain, le FC Barcelone, les deux Manchester ou encore Chelsea ou Bayern Munich, mais des compositions que nous pourrions qualifier davantage d’ « indépendantes ».
La référence absolue en France, c’est Vitality. Plusieurs fois champions de France, une Coupe de France, et même des plus grandes compétitions européennes et internationales, les fans n’en démordent pas, ils mériteraient aussi leur défilé sur les Champs Élysées. Mais que voulez-vous, le foot est le sport numéro 1. Et comme l’eSport, au-delà des paris sportifs, ne peut pas être reconnu par les plus grandes instances, comme le CIO pour les JO, il faut se contenter de suivre tout cela sur le net, sur les plateformes de streaming et les sites spécialisés. Paris 2024 aurait pu entrer dans l’Histoire, si jamais … .
Parier sur l’eSport avec la FDJ
Parier sur l’eSport n’est pas qu’un fantasme, c’est une réalité. Douce réalité tout de même, car la composition des mises ne reste que fictive. C’est par des coins, comme dans une machine arcade, que vous pouvez réaliser vos premiers paris sportifs eSport.
Heureusement, en France, tout le monde ne fait pas comme les autres et prend les devants. Car s’il fallait toujours suivre, ou plutôt subir, pour rattraper son retard et s’engouffrer dans la brèche, on ne ferait que se prendre des coups de marteaux. Alors nous tenions à nous montrer des plus élogieux auprès de la Française des Jeux.
Pour ce projet, en parfait passionné, vous n’avez que quelques étapes et conditions à connaître. Une première inscription est demandée pour parier sur l’esport. Que vous soyez mineur ou majeur, peu importe, le jeu est purement fictif. Dès votre arrivée, 500 crédits à votre actif. Un tableau récapitule les évènements à venir, et des cotes, comme pour une partie de football, où il faudra désigner l’équipe gagnante. Les marges et options de paris sportifs via Parions eSport se limite tout de même à ce seul concept 1N2. Pas de buteur, meilleur joueur, résultat à la mi-temps et autres faits de jeu qui pourrait bouleverser vos gains. En parlant de gains dans les paris sportifs eSport, il est hebdomadaire.
Parions eSport pour les paris sportifs a mis à jour une nouvelle manière de gagner, en jouant gratuitement. Par un effet de classement hebdomadaire, les meilleurs parieurs se voient récompensés par des crédits gratuits en plus, et quelques goodies à l’effigie de leur team favorite. Une maigre compensation, mais qui ne se refuse pas à la passion. L’eSport est parfaitement maniée par la FDJ, et nous ne pouvons que saluer l’action de la française, sa privatisation pouvant mener à d’autres belles surprises de ce genre.
L’Arjel bloque les paris sportifs eSport
Si les paris sportifs gratuits sur l’eSport sont les seules options disponibles en France et pour tous les passionnés, c’est comme trop souvent l’autorité qui bloque un système productif. Nous voulons bien sûr parler de l’Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL). Par ses grands mots : « La loi, c’est Moi », il est très facile de constater qu’il est derrière cette institution qui désire limiter les risques, où plutôt qui ne savent pas entrevoir l’avenir. De sa naissance en 2010 à nos jours, qu’elles ont été les véritables évolutions ou même révolutions dans le milieu des paris sportifs ? Alors certes, la protection des joueurs est plus qu’essentielle. L’aide et le suivi face à l’addiction au jeu des plus louables.
Mais l’Arjel pourrait tout aussi bien donner vie à certaines envies. Puisqu’elle est indépendante, puisqu’elle ne promeut que de la passion autour du jeu, pourquoi ne pas contenter les passionnés qui souhaite parier sur l’eSport ? Puisque le succès est au rendez-vous sur Parions eSport, puisque cela se fait déjà aux frontières de l’Europe et Outre-Atlantique, la France n’a-t-elle pas droit pour une fois d’être une terre où l’on force les décisions plutôt que les subir ?
Parier sur l’esport : encore mieux que le foot ?
Parier sur l’esport était bien sûr inconcevable il y a quelques années, lorsque le milieu n’était pas encore developpé. Peut-on même s’imaginer qu’une discipline eSport accès sur le seul jeu vidéo puisse surpasser la vision d’athlètes entraînés, formés et récompensés de leurs vrais efforts physiques, par des victoires collectives et individuelles ? Bien sûr que oui ! C’est là toute la force de l’eSport. L’ère du football et de sa popularité est naît sur notre monde par sa simplicité à pratiquer. Un ballon, deux t-shirts pour former un but, et on joue.
Pour l’eSport, avant paris sportifs, il est vrai qu’il faut un matériel un peu plus sophistiqué, ou du moins coûteux. Encore que lorsque l’on voit le prix d’un maillot arborant deux étoiles et de fabrications plus que douteuses, sur la tenue ou sur sa tenue, il est là aussi des interrogations à se poser. Alors une simple console de jeu ou même un PC, il en est toujours des équipements qui se glissent sous le sapin. Ça va contenter petits et grands, et manettes ou claviers à la main, on s’amuse ensemble, pour plus un rond supplémentaire. La durée de vie de certains jeux est même étonnante. Le tout premier Fifa date de 1993. League of Legends fête ses 10 ans.
En matière d’audimats, de vues via les directs en stream player ou différées sur Youtube comme sur Twitch, l’eSport avec paris sportifs peut atteindre des records. Selon une étude apparue en 2017, déjà plus de 4 millions de français ont déjà regardé une compétition eSport, avec plus de 20% d’entre eux qui y retournent de manière régulière. Cette même année-là, les championnats du monde ont recensé jusqu’à 50 millions de téléspectateurs en simultanés. Alors comme les paris sportifs online, l’eSport se développe depuis 2010, la cohérence ne serait-elle pas que ces deux passions s’associent pour braquer définitivement la banque ?