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Valenciennes: transferts, joueurs, classements et actus
Dans le paysage footballistique français, le nom Valenciennes résonne avec une ténacité indéfectible. Le Valenciennes Football Club, ou VAFC pour les initiés, est un monument du Nord, pétri d’histoire et de passion, négligé par certains, mais jamais oublié par ceux qui en connaissent l’essence.
Surgi en 1914 sous le nom d’Union Sportive de Valenciennes Anzin, le club a traversé les époques, bravant les tempêtes avec une constance admirable. Plus de 80 ans sous son nom originel, avant de se métamorphoser en Valenciennes FC, témoin de sa résilience et de sa volonté d’adaptation.
Au fil des années, le VAFC a jonglé entre Ligue 1 et Ligue 2, totalisant 40 saisons au sommet et 36 dans l’antichambre de l’élite. Bien que la Ligue 1 soit restée insaisissable, le club s’est distingué en raflant à deux reprises le titre de la Ligue 2. Ajoutez à cela le Championnat National et le Championnat de France amateur, Valenciennes a su démontrer qu’il savait, à sa manière, se frayer un chemin vers la victoire.
Les annales du club regorgent de moments mémorables, dont la finale de la Coupe de France en 1951 reste gravée dans les mémoires. Un exploit qui, bien qu’il n’ait pas été répété, constitue une part indélébile de l’ADN du VAFC.
Le Stade du Hainaut, écrin moderne et vibrant, est le théâtre des exploits de Valenciennes. C’est là que se rassemblent les fidèles supporters, véritables piliers du club, dont l’attachement et la ferveur ne se sont jamais démentis, même dans les moments les plus sombres. C’est là aussi que s’est joué le dernier acte de la présidence de Francis Decourrière, ancien politicien européen, remplacé en 2011 par Jean-Raymond Legrand.
Aujourd’hui, évoluant en Championnat National, le club nourrit de nouvelles ambitions. Les années 70, marquées par des mouvements incessants entre les divisions et une équipe talentueuse dirigée par Destrumelle, semblent loin. Mais le club a prouvé, maintes et maintes fois, sa capacité à rebondir, à se réinventer. Le futur est à portée de crampons, et le VAFC, fidèle à sa nature combative, n’a pas l’intention de reculer.