14 ans après la dernière rencontre européenne à Toulouse, le TéFéCé va connaître à nouveau les joies et les chocs de la Ligue Europa.
Une nouvelle équipe pour une nouvelle aventure
Après une saison 2019/2020 compliquée à vivre pour les fans de Toulouse et une descente en Ligue 2, il était difficile d’imaginer entendre la musique de la Ligue Europa trois ans après retentir dans le Stadium. Mais le club a si bien réagi et recruté intelligemment que le rêve lointain est devenu très vite réalité.
Ajoutez un nouvel actionnaire (RedBird Capital), une nouvelle vague de jeunes joueurs identifiée grâce à la BigData et la magie de la Coupe de France et vous obtenez une qualification à une C3 bien méritée. Les hommes de Carles Martinez Novell vont tout donner pour montrer qu’ils sont des outsiders à prendre au sérieux.
Un groupe délicat mais une qualification possible
Tombé dans un groupe compliqué, Toulouse va devoir batailler pour arracher une qualification. Cela a plutôt bien commencé avec le match nul obtenu lors de la première rencontre suite au déplacement en Belgique contre l’Union Saint-Gilloise. L’ancien quart de finaliste de l’édition précédente avait fait du Stade Joseph Marien une citadelle imprenable mais n’a pas pu venir à bout des Toulousains supérieurs dans le jeu.
LASK, équipe autrichienne habituée aux compétitions européennes semble être l’équipe la plus “abordable” dans ce groupe. Cependant, le troisième meilleur club autrichien reste une équipe remplie de joueurs d’expérience qui ne laisseront aucun point facilement.
Enfin, le favori de ce groupe et même de la compétition n’est nul autre que Liverpool. Après une saison moyenne en Premier League, les pensionnaires d’Anfield se retrouvent reversés en Europa League et vont vouloir montrer qu’ils ne sont pas à leur place. Déjà vainqueur lors du premier match de LASK (2-0), Liverpool a déjà une petite avance sur ses opposants mais rien n’est encore fait.
Le TéFéCé a bien entendu son coup à jouer dans ce groupe. Après tout, quand il s’agit de football à Toulouse tout est possible. Même le “Grand Naples” de Maradona en 1986 avait échoué dans la Ville Rose.
