Contre qui Marseille jouera-t-il s’il gagne le barrage de la Ligue des champions contre le Panathinaïkos ?
Alors que l’Olympique de Marseille (OM) entame sa campagne de Ligue des Champions, il est confronté à un parcours passionnant mais difficile pour décrocher une place en phase de groupes. Tiré au sort contre le Panathinaïkos au troisième tour préliminaire, le club français sait qu’il doit d’abord franchir cet obstacle. Cependant, s’ils parviennent à progresser, leur parcours devient encore plus intimidant avec des rencontres potentielles contre des adversaires redoutables lors des séries éliminatoires.
Mercredi, l’OM entame sa saison avec le match aller du troisième tour préliminaire contre le Panathinaïkos, une puissance grecque. L’objectif étant d’obtenir un résultat positif à l’aller, les joueurs devront rester concentrés et déterminés pour le match retour, le 15 août.
S’ils parviennent à passer le Panathinaïkos avec succès, les Marseillais affronteront l’un des quatre adversaires potentiels lors des éliminatoires qui se dérouleront les 22-23 et 29-30 août. Le tirage au sort, qui aura lieu au siège de l’UEFA à Nyon, en Suisse, décidera de leur sort, réduisant de moitié la liste des challengers.
Glasgow, Servette, Braga, ou Serbie?
Le premier rival potentiel est le club écossais des Glasgow Rangers, un club à l’histoire riche et au pedigree européen solide. Les géants écossais ont une base de supporters fidèles et ont été une force dominante dans leur championnat national, ce qui en fait un ennemi redoutable pour Marseille.
Ils pourraient également être opposés au Servette FC de Suisse, une équipe qui n’a cessé de monter en puissance ces dernières années. Bien qu’il ne soit pas aussi connu que d’autres clubs européens, le Servette FC a le potentiel pour créer des surprises.
L’autre groupe d’adversaires potentiels comprend Braga, du Portugal, une équipe qui a toujours obtenu de bons résultats dans les compétitions européennes. Les prouesses tactiques et les joueurs habiles de Braga pourraient constituer un défi de taille pour l’équipe française.
D’autre part, il y a Backa Topola de Serbie, une équipe qui n’a peut-être pas la même expérience européenne que d’autres rivaux potentiels, mais qui ne doit pas être sous-estimée. Backa Topola a montré sa capacité à bousculer les équipes établies par le passé et pourrait représenter un test délicat pour l’OM.
Marseille ne bénéficiera pas du luxe d’être une tête de série dans les éliminatoires, pas plus que son adversaire potentiel du match entre le PSV Eindhoven (Pays-Bas) et Sturm Graz (Autriche).
