A la veille de la première finale du PSG sous l’ère Enrique, le tacticien espagnol est revenu brièvement sur le cas Mbappé, avant de parler de sa jeune pépite Beraldo
Enrique pense que que Beraldo est “un joueur très intéressant”
Le Paris Saint-Germain peut commencer l’année de la meilleure des façons : en gagnant un titre. Demain, les champions de France affrontent Toulouse, vainqueur de la Coupe de France, pour le Trophée des Champions au Parc des Princes. Luis Enrique, l’entraîneur espagnol du PSG, a d’abord évoqué le cas de Kylian Mbappé en conférence de presse, libre de signer avec un autre club depuis le début de l’année:
“Comment convaincre Mbappé de rester ? Je vais le gérer comme j’ai toujours fait. La situation de Mbappé, ça ne dépend pas de moi, je ne suis pas la personne qui doit répondre à cela.”
Il a enchaîné sa conférence de presse en répondant aux questions au sujet de Lucas Beraldo, le jeune défenseur brésilien fraichement arrivé d’Amérique du Sud :
“C’est le premier joueur qui arrive dans ce mercato et il a déjà pu s’entraîner avec nous. Avant de signer un joueur, il y a un suivi pour comprendre son profil, sa personnalité, son professionnalisme en dehors du terrain. C’est un arrière gauche complet, très jeune avec un bel avenir, un joueur très intéressant. Ce recrutement n’a rien à voir avec Kimpembe ou Nuno Mendes. Bien que notre ligne de défense ait été affaiblie par les blessures, ils sont des joueurs de haut niveau qui récupéreront bientôt. C’est plutôt une opportunité que l’on a saisie. Avec Beraldo, malgré son jeune âge et le changement de continent, on voit en lui un joueur qui peut aider l’équipe. On facilitera son adaptation pour le rendre rapidement opérationnel.”
Enfin, il a évoqué la finale du Trophée des Champions face à Toulouse : “Toulouse est capable de beaucoup avec le ballon, ils savent occuper l’espace et sont très actifs sans ballon. Ils rendront le match difficile. C’est une finale pour eux et pour nous, une opportunité de tester notre équipe. Ces matchs sont stimulants, bien au-delà d’une simple rencontre. Les grandes équipes comme le PSG vivent pour ces moments.”
