Du haut de son mètre 73 et de ses 22 ans, Bernardo Silva éclabousse la France (et l’Europe) de son talent cette saison. Incontournable à Monaco, il fait partie des meilleurs joueurs du championnat.
Encore décisif dimanche
Dans les grands rendez-vous, l’ailier portugais de Monaco n’est pas le genre de joueur qui se cache derrière ses équipiers. Il montre qu’il a les épaules d’un taulier.
On l’a encore vu dimanche dernier dans le choc entre les deux meilleures formations de Ligue 1 : PSG-Monaco. Bernardo Silva a égalisé à quelques minutes de la fin permettant à son équipe de rester devant au classement.
En marquant ce but, il permet à Monaco de rêver d’un titre en Ligue 1. Un but d’ailleurs qui ressemble à celui d’une légende barcelonaise :
Il a lancé la saison européenne de l’ASM
Monaco va jouer sa place en quart de finale de Ligue des Champions lors d’une double confrontation face à Manchester City. Si l’équipe en est là, c’est en partie grâce à Silva.
Décisif face à Villarreal lors du barrage de Ligue des Champions, il a ensuite été le premier buteur de Monaco dans le choc face à Tottenham.
Des buts qui ont notamment permis aux hommes du Rocher de terminer premiers de leur poule. Avant de créer la surprise face à l’équipe de Pep Guardiola ?
Des bonnes statistiques
Impliqué sur 12 buts de son équipe en Ligue 1 (5 réalisations et 7 passes décisives), il égale déjà son meilleur total sous le maillot monégasque.
Surtout, Bernardo Silva est le joueur idéal pour mettre en valeur Radamel Falcao, Valère Germain et Thomas Lemar qui sont plus à la finition.
Grâce à ses prises de balle et ses passes lumineuses, Bernardo Silva casse les lignes et met ses attaquants dans le confort pour terminer les actions.
Un départ cet été ?
Forcément, des performances comme celles de Bernardo Silva attirent l’oeil des plus grands clubs européens qui se positionnent déjà.
Deux clubs semblent tenir la corde pour se payer l’ailier monégasque : Manchester United et le FC Barcelone.
Ce qui est sûr, c’est que Monaco va pouvoir se faire une sacré marge sur le joueur acheté 15 millions. On parle déjà d’un transfert à plus de 60 patates.