C’est la saga de ce début de mercato. Où ira Hatem Ben Arfa ? L’international français revenu comme une bombe à Nice a reçu 18 propositions et en a sélectionné 3. L’Olympique Lyonnais semble tenir la corde et ça semble être la destination parfaite pour lui. Voici pourquoi :
1. Hatem Ben Arfa en LDC
C’était une condition pour que HBA reste à Nice, il fallait que le club dispute la Ligue des Champions en 2016/2017.
Mais l’OGCN a raté le podium et Lyon en a profité pour terminer derrière le Paris Saint-Germain et se qualifier directement en Ligue des Champions.
En signant à l’Olympique Lyonnais, Hatem Ben Arfa a donc l’assurance de disputer la plus grande compétition européenne.
Son dernier match en Champions League remonte au 25 novembre 2009 avec l’OM et une défaite face au Milan AC.
2. Avoir une équipe qui joue pour lui
En allant dans un club huppé comme le FC Barcelone ou le Paris Saint-Germain, Hatem Ben Arfa n’aurait plus le statut qui lui a permis de briller à l’OGC Nice.
Pour être à son meilleur niveau, l’international français a besoin d’être le maître à jouer de son équipe. Une situation impossible dans les meilleurs clubs européens.
A Lyon, avoir Ben Arfa au cœur du jeu semble possible. Associé à Alexandre Lacazette, ça pourrait faire très mal aux défenses adverses.
3. Garder la cote qu’il a en France
Loin des yeux, loin du cœur. En partant de nouveau à l’étranger, Hatem Ben Arfa prend le risque de s’éloigner.
En allant découvrir un autre championnat, HBA pourrait être un peu oublié par un public français qui a fait de lui son chouchou cette saison.
Le soutien que reçoit l’international français est impressionnant et tranche avec l’image qu’il avait avant.
4. Ca s’est mal passé avant
Hatem Ben Arfa a déjà eu une expérience à l’étranger lorsqu’il a été transféré à Newcastle puis Hull City.
Malgré quelques percées magiques dont il a le secret, ça s’est plutôt mal passé pour lui en Angleterre.
Le joueur a eu du mal à s’adapter dans un championnat qui semblait parfait pour lui.
En allant de nouveau à l’étranger, Ben Arfa prend le risque d’une nouvelle désillusion.
A 29 ans, c’est un gros risque alors reste avec nous Hatem !
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