Certains vous diront que simuler fait partie du jeu, d’autres que ce genre de comportements gangrène le football.
Dans sa riche histoire, la Coupe du Monde ne manque pas d’anecdotes sur ces footballeurs-acteurs, qui un jour, par vice ou simple opportunisme, ont fait basculer le cours d’un match par un plongeon.
Le brésilien Fred est pour l’instant le grand gagnant du prix de la simulation la plus réussie du Mondial 2014. Mais il n’est pas certain qu’il soit toujours en tête de ce classement bien peu glorieux à l’issue de la compétition.
Les-transferts.com vous offre un florilège des plus belles simulations de l’histoire de la Coupe du Monde.
Rivaldo
Dans la course au titre suprême en 2002, le Brésilien aura aussi glané un Oscar sur la route. Standing Ovation.
Fabio Grosso
Avant de remporter le Mondial 2006, l’Italie a d’abord du se sortir des griffes de l’Australie en huitièmes. Dans les arrêts de jeu, le latéral gauche de la Squadra Azzura réussit à berner l’arbitre de façon grotesque. Penalty. But. Qualification. Champions du monde.
Fernando Torres
Quand il marquait encore des buts, le fantôme de Chelsea pouvait être un vrai poison pour les défenses. Et pas seulement en faisant trembler les filets. Son plongeon face au Chili est absolument mémorable. Et l’expulsion qui suit complètement injustifiée.
Jurgen Klinsmann
En finale du Mondial italien de 1990 face à l’Argentine, l’attaquant allemand se surpasse pour faire expulser son vis à vis. Même les soigneurs croient à sa blessure. Du grand art.
Diego Simeone
Même si la réaction de Beckham n’a pas lieu d’être, le coach de l’Atletico aurait pu au moins éviter de tomber.
Mickael Owen
Lors du mondial sino-coréen de 2002, le lauréat du ballon d’or 2001 abuse de Pierluigi Collina en en rajoutant une tonne dans son duel face à Pochettino. Et permet ainsi à David Beckham de se venger.
Kader Keita
Réussir à faire expulser Kaka comme ça relève de l’exploit. Et en plus avec une échauffourée à la clé. Chapeau l’artiste.
Florent Malouda
La légendaire panenka de Zidane vient de là.
Thierry Henry
Il en faut du métier pour piéger Ricardo Carvalho de cette manière. Imparable. Sacré Thierry.