AC Milan : La verité derrière l’affaire Théo Hernandez

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La vérité sur l'affaire de Théo Hernandez
La vérité sur l’affaire de Théo Hernandez

Accusé d’agression sur une femme en boîte de nuit, l’affaire prend une tournure inattendue.

Les controverses concernant les footballeurs arrivent très souvent. En tant que personnalité publique, leurs faits et gestes sont expiés par les paparazzis ou autre. L’un des récents cas a été celui de Kylian Mbappé et l’affaire en Suède. Alors qu’il était parti en Suède pour fuir toute la sphère médiatique, le joueur a été rapidement retrouvé malgré une soirée privée.

Après Kylian Mbappé, ça a été Théo Hernandez qui a été accusé d’agression sur deux femmes. L’affaire a éclaté lorsque Fabrizio Corona, ancien paparazzi et figure médiatique controversée, a publié des vidéos sur sa chaîne YouTube. Ces images, tournées dans un club à Marbella datant de 2017, montrent Theo Hernández dans des altercations avec une femme. Le joueur a eu gain de cause auprès du tribunal de Malaga car la mannequin a été condamné à 6 mois de prison. En plus de la peine de prison, 
le mannequin a été condamné pour délit d’accusation et fausse dénonciation à une amende de six mois avec une indemnité journalière de dix euros.

La vérité est désormais connue.

Alors que Fabrizio Corona, le paparazzi italien, affirmait que la vidéo avait été prise dans un club milanais, il s’avère que les faits se sont finalement déroulés en 2017 en Espagne. Théo Hernandez et la mannequin se seraient rencontrés dans une boîte de nuit, où ils auraient dans un premier temps quitté les lieux pour avoir des rapports sexuels dans une voiture avant de revenir à l’intérieur de l’établissement. La femme aurait tenté de convaincre l’international français de venir chez elle, mais sans succès.

Frustrée, elle se serait battue avec d’autres personnes, selon les faits prouvés dans le jugement. Selon Relevo, la femme, “pour se venger et profiter de la notoriété” du footballeur, a appelé la police nationale pour déclarer qu’elle avait été victime d’une agression sexuelle, avec l’intention de porter plainte. Les agents de police l’ont alors emmenée pour un examen médical.

Finalement, l’accusée a conclu un accord après avoir reconnu les faits rapportés dans l’acte d’accusation.