PSG : Nicolas Sarkozy dézingue le choix de Mbappé

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PSG : Nicolas Sarkozy dézingue le choix de Mbappé
Kylian Mbappé ©IMAGO / ABACAPRESS

Le départ de Kylian Mbappé, chronique d’une séparation tendue avec le PSG

Le transfert de Kylian Mbappé au Real Madrid en juin dernier a marqué la fin d’une ère pour le Paris Saint-Germain. Après sept années passées dans la capitale française, l’attaquant vedette a décidé de réaliser son rêve en rejoignant le prestigieux club madrilène. Toutefois, son départ n’a pas été sans controverse, notamment en raison d’un différend financier de 55 millions d’euros, toujours en suspens.

Kylian Mbappé et le PSG : Une relation complexe

Arrivé au Paris Saint-Germain en 2017 en provenance de l’AS Monaco, Kylian Mbappé s’est rapidement imposé comme l’un des meilleurs joueurs du monde. Son talent, sa vitesse fulgurante et sa capacité à changer le cours d’un match ont fait de lui un élément central dans les succès récents du club parisien. Pourtant, malgré les titres et les performances individuelles de haut niveau, la relation entre Mbappé et le PSG s’est dégradée au fil des ans.

La perception de l’ancien président Nicolas Sarkozy

En juin dernier, au terme de son contrat, Mbappé a finalement cédé à l’appel de son rêve d’enfant : jouer pour le Real Madrid. Si le transfert en lui-même n’a surpris personne, c’est la manière dont il a été orchestré qui a fait couler beaucoup d’encre. L’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, grand supporter du PSG, a exprimé dans les colonnes du Parisien son incompréhension quant à la gestion de ce départ :

Kylian a donné 7 ans au club, on ne doit pas l’oublier. Il nous a donné des émotions extraordinaires. […] Mais je comprends plus difficilement la manière dont il l’a mis en œuvre.

Cette déclaration reflète le sentiment partagé par de nombreux fans et observateurs, qui reprochent à Mbappé une communication ambiguë et un manque de transparence lors des négociations de prolongation avec le PSG.

On pense toujours que l’herbe est plus verte ailleurs. […] Mais c’est son choix.