Jean- Marie Pfaff était un gardien de but efficace pour la Belgique, mais il a soudainement été écarté de l’équipe de Belgique. La raison est plus bizarre que vous ne l’auriez imaginé…
C’est la Coupe du monde de 1982, et le gardien Jean-Marie Pfaff a brillé tout au long du tournoi pour une équipe de Diables rouges prometteuse qui venait de s’imposer de manière impressionnante contre l’Argentine.
Cependant, lors du match suivant, le gardien de but n’était pas titulaire, à la grande surprise et à la consternation des médias du monde entier : pourquoi la Belgique aurait-elle laissé tomber son joueur le plus performant ?
Cependant, il est rapidement apparu que quelque chose de plus qu’inhabituel s’était produit en coulisses. L’ego du gardien de but avait pris de l’ampleur en raison de ses performances exceptionnelles sous le maillot belge, et Pfaff avait organisé une fête au bord de la piscine de l’hôtel de l’équipe dans une Espagne ensoleillée.
Ainsi, lors d’une soirée piscine à l’hôtel de l’équipe, le célèbre commentateur radio belge, Jan Wauters, a pris l’initiative de pousser Jean-Marie dans l’eau. Le seul problème était que Pfaff ne savait pas nager. Après avoir été sauvé de ce qui devait ressembler à l’océan Atlantique, l’homme en question s’est calmé, a essayé de garder son calme et, lorsque les médias l’ont interrogé sur l’incident, a simplement déclaré qu’il faisait semblant de se noyer.
Mais les choses ont ensuite pris une autre tournure étrange. Lors du dernier match de groupe contre la Hongrie, Pfaff a tenté de dégager un centre avant de heurter par inadvertance son capitaine, Eric Gerets. L’arrière était littéralement inconscient et une ambulance a été appelée, mais il n’y avait pas de place à l’auberge pour ainsi dire, car Pfaff avait déjà acquis ses services en raison d’une blessure à l’épaule qui s’est avérée être une fausse.
Le gardien, qui a désormais honte, est laissé de côté lors du match suivant, au cours duquel la Belgique subit une défaite 3-0 face à la Pologne, mais le coach refuse de céder à la pression de réintégrer Pfaff dans l’équipe, qui s’incline ensuite face à l’URSS, ce qui entraîne l’élimination du tournoi.
