Il va falloir s’y faire, l’assistance vidéo va être utilisée dès l’année prochaine pour la plus grande compétition mondiale.
Une suite logique
Gianni Infantino ne marche pas vraiment dans les pas de son mentor Michel Platini qui se battait contre l’utilisation de la vidéo.
Assis dans le siège du président de la FIFA depuis un peu plus d’un an, l’Italien n’a pas traîné pour changer les choses. Pour lui, l’instauration de la vidéo, c’est naturel :
Nous utiliserons au Mondial 2018 l’arbitrage vidéo parce que jusqu’à présent, nous n’avons que des retours très positifs.
Le souvenir de France-Espagne
Pour ceux qui suivent l’équipe de France, l’arbitrage vidéo c’est plutôt un mauvais souvenir. L’Espagne s’était imposée 2-0 en France grâce à la vidéo.
Suite à la consultation de la vidéo, Antoine Griezmann s’était vu refuser le premier but de la rencontre après un hors-jeu du passeur décisif.
Cas contraire pour l’Espagne dont la deuxième réalisation avait d’abord été refusée puis validée après examen des images. Dur.
